coto language academy

Enfin apprendre le Japonais avec Coto Language Academy

J’avais présenté mon ancienne école, Toshin, à propos de laquelle j’avais un retour un peu mitigé. À Tokyo, la quantité d’écoles de japonais est affolante. S’y retrouver est un enfer (pavé de bonnes intentions). Chacun a sa méthode pour dénicher la bonne école. Certains se sentent rassurés par la présence d’employés parlant leur langue. D’autres regardent les statistiques de réussite aux tests ou encore celles des nationalités. Un public par trop asiatique risque de poser des problèmes de pédagogie (sans doute ce qui m’est arrivé à Toshin). Depuis mon passage à Toshin, j’ai développé un peu plus mon parcours d’apprentissage et mes difficultés à progresser en solitaire.

Aujourd’hui, mes progrès sont enfin « là ». J’ai attendu avant de présenter à cette école, parce que je n’avais pas fait le tour de leur catalogue. Ni été élève suffisamment longtemps pour pouvoir témoigner à 100% (et 0% sponsorisation). Cependant, Coto Language Academy – anciennement Fun Iidabashi, est vraiment une bonne école.

Le contexte

Ce qui m’a convaincue de rester et d’en faire le tour, ce sont ses élèves et ses professeurs. D’un côté, des étudiants adultes, dont une majorité de professionnels, investis et passionnés. De l’autre une équipe de professeurs entraînés, avec des pédagogies adaptées selon les origines des uns et des autres (et capable de discerner les problèmes de prononciation selon la langue native …). L’ambiance est agréablement détendue, ouverte et on se sent à l’aise, tout timide ou au contraire énergique, que l’on soit. Les employés – professeurs ou administration, sont très patients et surtout très engagés auprès des élèves. J’ai été aussi surprise par les locaux, hyper chaleureux – colorés, avec une salle commune où l’on peut se détendre dans un coin tatami, bar ou aux tables, avec thé ou café à volonté.

coto language academy

L’endroit où est situé l’école  (iidabashi) est  le quartier français. Il est vraiment bien. L’école propose quasiment toutes les semaines des activités à l’extérieur ainsi que des déjeuners à la fin des cours. Ils sont actifs sur les réseaux sociaux avec une page Facebook régulièrement actualisée, un compte Twitter et un blog. On sent qu’ils souhaitent former une communauté.

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Fête de fin d’année avec l’équipe et les élèves 

Ce qu’ils proposent

Des cours avec maximum 8 élèves (en pratique, 2 à 6 …) contre 15 à 20 dans les écoles habituelles. Bien qu’ils utilisent différents manuels, l’école a créé sa propre méthodologie pour encourager la prise de parole. Si je suis devenue à l’aise à baragouiner en japonais, c’est bien grâce à mes charmantes enseignantes qui m’ont encouragée à parler. Et je peux vous dire que ça n’a pas été de la tarte…

coto language academy

Diverses formules de cours

Les cours particuliers avec des prix intéressants si vous investissez dans un certain nombre d’heures, qui sont adaptés à vos besoins (pratiquer le keigo, de revoir le causatif ou encore simplement, jeux de rôle pour apprendre à être à l’aise en toute circonstance). Niveau horaire, c’est à la carte, de même que pour le professeur que vous souhaitez rencontrer.

Les classes appelées Nihongo Plus, qui sont des cours en groupe, que vous achetez par pack. Vous choisissez là encore vos horaires et les points que vous voulez étudier. Un calendrier indiquant la grammaire, le vocabulaire et les sujets de conversation est mis à votre disposition.

Les cours intensifs, à la semaine ou au mois, 3 heures, matin et après midi selon les niveaux (grands débutants à intermédiaire avancé). Vous achetez les manuels par le biais de l’école qui vous fournit aussi un petit manuel fait par leurs soins, avec du contenu et des entrainements additionnels, ainsi que le calendrier du programme.

J’ai un gros coup de coeur pour leur site internet, simple et clair, qui ne nous perd pas dans des méandres de documentation. C’est un problème que j’ai fréquemment rencontré en sondant les sites d’écoles concurrentes, et qui me tape sérieusement sur les nerfs quand il s’agit de s’y retrouver en terme de calendrier, budget et contact.

Cours en groupe à mi-temps

J’ai commencé avec les cours Nihongo Plus, afin de me déverrouiller un peu sur le plan de la conversation. Je bachotais à mort le JLPT N3. Néanmoins sortie de la bibliothèque, c’était à peine si je pouvais me débrouiller avec la postière (la crémière, et la boulangère). Le japonais, c’est un peu le rubik’s cube du cerveau. Ça ne va pas du tout dans la logique française (ou occidentale) de l’expression. J’avais beau connaître ma grammaire jusqu’au bout des ongles de pied, ma bouche elle, s’en tenait à 1, 2, 3 poulets (fantastiquement utiles pour envoyer un colis en Russie).

Un peu timide, cela m’a forcée à sortir de ma coquille, plusieurs fois par semaine, avec des étudiants bien souvent inconnus. Les points de langue abordés étaient variés, tout en suivant un programme déterminé dans lequel je piochais les points que je souhaitais maîtriser. Concernant les sujets de conversation, on passait d’un trivial « comment faire du shopping » à « exprimer ses émotions », et avec 2, 3 camarades, on a le temps de bien discuter en une heure.

L’avantage est clairement de pouvoir pratiquer le japonais de manière encadrée: nos erreurs sont reprises, nos maladresses corrigées. Le désavantage tient sans doute dans l’effort d’assiduité que l’on doit faire, qui n’est pas à la portée de tous les apprenants, aussi motivés qu’ils soient.

Cours privés

Après deux mois de cours en groupe, j’ai eu le besoin de soutien individuel. J’ai alors pris 48 heures de cours particulier, et j’ai adoré. Avoir un professeur concentré sur un seul élève est du luxe, mais le résultat est là et durable. Une heure intensive permet de faire le tour d’un point délicat de la langue tout en pratiquant. Ce fut un formidable coup de fouet pour ma prononciation et de manière générale, pour être à l’aise en japonais et acquérir des réflexes.

J’ai ralenti le rythme et pas mal bougé dernièrement. Certains de mes projets étant tombés à l’eau, je me suis remise à chercher une école pour un apprentissage de nouveau intensif, espérant obtenir un niveau me permettant finalement de me lancer sur le marché du travail nippon. Certains se lancent alors qu’ils baragouinent tout juste, et j’ai une grande admiration pour cette témérité. On me l’a conseillé à de nombreuses reprises. Mais voilà, trouillarde ou prudente, je n’arrive pas à m’imaginer débarquer à un entretien en japonais (ni même en anglais pour un travail incluant l’usage du japonais) et jouer au culot. Je suis un rat de bibliothèque. Si on me payait à étudier, je crois que je serais la plus heureuse du monde (avec beaucoup d’autres j’en suis certaine !).

En cherchant une nouvelle école, j’ai réalisé à quel point le manque de flexibilité, le manque de contact humain (les trois quarts me répondant directement par une facture à payer, sans même se préoccuper de mes besoins précis), me frustrait.

Cours intensifs

J’ai jeté un oeil du côté de Coto Language Academy, et j’ai estimé que l’investissement n’était pas plus « élevé » (sans compter que beaucoup d’écoles obligent à des frais de participation à des activités pour lesquelles je n’ai aucun intérêt, du genre les rencontres sportives inter écoles ou aller à Disneyland). Je me suis inscrite pour deux semaines de cours intensifs, histoire de tester l’ambiance.

J’ai adoré. Mais alors ça a été une révélation. Certes, je dois m’astreindre à 3 heures tous les matins, à rendre de nouveau des « devoirs », et à réviser. Mais les progrès sont affolants, et la pédagogie de l’équipe très aboutie. Le seul hic réside dans le fait que le niveau est en dessous du mien, et que les kanji sont vraiment faciles. Mais d’un autre côté, vu ma gaucherie en japonais, c’est l’occasion de polir mes capacités (et revoir les kanji ne fait jamais trop de mal). On s’améliore à tous les niveaux avec une pratique équilibrée de la grammaire (lundi et mardi), de la conversation et de l’écoute (le mercredi et jeudi), ainsi que l’ultime épreuve: le discours du vendredi matin (pom pom pom, les premières secondes de la 5ème symphonie de Beethoven).

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Tout au long de la semaine, on grappille du vocabulaire nouveau et on apprend à utiliser des synonymes. Je suis tellement enthousiaste que je compte y étudier jusqu’au prochain JLPT N2, en juillet. Enfin, les étudiants de ma classe (ils sont 2) sont fantastiques et leur motivation est communicative !

Est-ce que Coto Language Academy est pour tout le monde ?

Pour moi, cette école s’adresse à un public mature dans son apprentissage, indépendant, motivé et capable de s’impliquer avec sérieux. Ce n’est pas étonnant que la moyenne d’âge soit plus élevée que les autres écoles. Après tout cette école demande un certain investissement. D’ailleurs elle ne sponsorise pas de visa. Je ne vois personne gâchant cette occasion. Mais j’y ai croisé pas mal d’étudiants qui souhaitent améliorer leur japonais à travers des cours différents, indépendamment d’un autre programme de japonais (par exemple universitaire). D’ailleurs, sur internet, les retours sont très positifs.

Ainsi l’illustratrice Rosalys a-t-elle écrit dans un article consacré à l’école que,

Outre les locaux tout neufs avec tatami, les réponses quasi-instantanées aux mails bilingues anglais-japonais, et les petites activités culturelles en supplément, le bon point de cet institut est son public. On ne peut pas généraliser mais sur les 3 élèves qui ont fréquenté les mêmes cours que moi, il n’y a eu que des personnes extrêmement investies dans leur apprentissage du japonais. D’horizons divers (Mongolie, Espagne, Taïwan), et avec un sérieux que j’ai rarement vu. C’est l’effet Japon sur les étrangers qui en veulent.

17 Comments to “Enfin apprendre le Japonais avec Coto Language Academy”

  • Compilation de ressources (gratuites) pour débuter le japonais en douceur

    […] débuté le japonais avec Minna No Nihongo, une collection de livres souvent utilisée en école (d’autres collections existent, comme Genki). L’avantage du Minna, c’est […]

  • CaNL

    Bonjour!

    J’ai commencer à lire vos article (que je trouve très intéressant :)) depuis quelques jours et je m’intéresse à cette école. J’ai cru comprendre que les cours étaient dispensés en anglais… Dans quelle mesure? Parce que je me démerde, je baragouine, mais je suis loin d’être bilingue, alors je me demande si ça pourrait être un frein pour suivre des cours.

    Merci et bonne continuation!

  • Kitakat

    Bonjour Amélie,

    Alors voilà, je suis actuellement en terminale littéraire et souhaite depuis des années étudier au Japon. Je me suis toujours dis que j’attendrai d’avoir mon bac pour partir, et voilà que j’y arrive.
    J’aurai donc 18 ans à ma prochaine rentrée.
    J’avais sérieusement songé à aller étudier à Toshin, puis je suis tombée sur votre super article la concernant. J’avoue que ça m’a un peu refroidie. Je me suis donc baladée sur ce site et ai découvert le présent article ! Je voudrais juste vous poser une question : Est-ce que-d’après ce que j’ai pu lire au niveau de l’âge des étudiants- 18 ans serait trop jeune pour y entrer ? A savoir que je prend des cours de japonais dans mon lycée (bac japonais et tralala). Nous sommes au deuxième « Minna no Nihongo ».
    Je voudrais valider le JLPT afin de pouvoir me présenter avec de bonnes aptitudes à l’entreprise où je voudrais travailler par la suite…
    Désolée si la réponse à cette question à déjà été faite sans que je ne le voie…
    Je suis plutôt déboussolée pour cette rentrée et aimerais trouver le plus d’aises possibles quant à l’inscription.

    Merci beaucoup pour cet article, bonne soirée !

    • ameliemarieintokyo

      Bonjour. Tout d’abord, je m’excuse de mon retard. Ensuite… vaste sujet. Je comprends que tu sois jeune et attirée par le Japon et que l’impatience te guette. Je serai toi j’irai d’abord faire un voyage d’un été. Pour voir. La vie ici n’est pas facile (je pense que de nombreux blogs d’expats pourront te le montrer). Ça ne veut pas dire impossible, ni que ça ne t’enchanterait pas par la suite. Mais une année d’école au Japon coute très cher et si tu devais mal le vivre, cela serait vraiment dommage. Si tu as envie de travailler au Japon, il faut bien comprendre qu’un diplôme universitaire te sera indispensable. Ne serait-ce que pour le visa de travail (ou alors… les galères et petits boulots de misère te guettent!).

      En fait, cela se résume à « d’abord tester le Japon ». Ensuite, « ça te plait? Ok, étudie la langue (éventuellement une spécialité…) et ensuite pars! ».

      Entre le visa étudiant et le Working Holiday, tu peux cumuler plusieurs années. Cela parait énorme, mais ce n’est pas « beaucoup » si tu veux bosser par la suite sur place et bien t’y préparer. Si tu songes à étudier au Japon, les frais universitaires sont parmi les plus élevés au monde.

      Toutes les écoles ensuite, ne sont pas bonnes. Je te conseille bien sûr la mienne, mais aussi l’école Kai à Tokyo. Je te déconseille celle par laquelle je suis passée. L’âge des élèves est relativement jeune, mais il n’influence que peu l’ambiance! Au contraire, les élèves plus jeunes bénéficient de l’expérience des plus âgés (et de contacts de travail!).

      Si tu tiens vraaaaiment à partir étudier un an dès 18 ans sans être sûre que le pays va te plaire, je te conseille peut de passer d’abord par le working holiday. Si ça te plait et que tu veux te consacrer au japonais, tu passes par une école avec visa par la suite :).

      Bon courage!

    • laurebernard

      Bonjour Amélie,

      Je me permets de rebondir sur ta réponse, car tu y dis quelque chose qui m’intéresse énormément. « de passer d’abord par le working holiday. [… ] par une école avec visa par la suite 🙂 », c’est l’approche la plus logique pour avoir un max de temps en visa n’est-ce pas ?
      J’envisage d’aller au Japon (j’y suis déjà allée plusieurs fois, et après 6 années d’études enfin terminées il est temps pour moi d’aller découvrir du pays), mais cette question de visa m’angoisse énormément. Coto à l’inverse de Toshin n’offre pas de visa étudiant, c’est bien ça ?
      Parce que le working-holiday il est bien sympa, mais un an pour améliorer son japonais, trouver un taff/sponsore etc. ça m’a l’air assez restreint dans le temps.

      Merci pour cet article en tout cas 🙂

      Laure

    • ameliemarieintokyo

      Bonjour!
      Oui, mon école ne sponsorise pas les visa par choix (il faut fournir un curriculum adapté aux concours d’université, alors que nous enseignons du Japonais pratique, oral et surtout adapté pour des situations de vie au Japon, travail, amis etc…).

      Je n’ai jamais eu le visa étudiant, donc je ne peux pas trop m’étendre sur le sujet; mais cela me parait plus logique de tester le pays avec un visa « facile » à avoir (le PVT c’est toi qui contrôle tout et tu n’as pas d’argent à avancer). Tu peux passer un an au Japon, expérimenter cette expatriation et voir si 1) tu aimes le Japon / peux y vivre 2) si l’expatriation c’est ton truc.

      Je connais certaines personnes qui n’ont pas aimé ou qui ont réalisé que non, vraiment, elles ne pouvaient pas être loin de leur famille. Quand tu as avancé des milles et des cents pour un visa étudiant et que tu veux repartir, c’est dommage.

      Une fois le PVT en poche, si c’est l’éclate et que tu adores le japonais, tu peux réussir en un an à trouver du travail (moyenne de 6 à 9 mois selon ton profil, ta chance, ton investissement dans la recherche). J’ai plusieurs de mes amis (élèves de l’école) qui ont trouvé sans soucis. Ils ont eu par contre le cran de bosser le japonais à fond tout en menant leur recherche d’emploi, networking etc.

      En ce qui concerne l’apprentissage du japonais, il faut trouver une école qui te plait toi, qui te convient avec un contexte d’apprentissage (nombre d’heures, nombre d’élèves par classe, origines des élèves, manuels utilisés…) adapté à ton profil.

      Personnellement, j’ai fait une école avant Coto et j’ai détesté (Toshin). Adulte, responsable et en recherche d’emploi, je n’avais pas envie de perdre mon temps avec la moitié de la classe qui dormait, l’autre qui n’écoutait rien, et des cours complètement inadaptés. J’ai arrêté cette école dès que j’ai pu et j’ai bachoter à la bibliothèque pendant 6 mois pour décrocher mon JLPT N3.

      Il existe beaucoup de parcours possibles et rien n’est absolu, mais voilà mon expérience ^^.

  • Lys

    coucou je voulais te remercier pour ton témoignage. A vrai dire cela fais un moment que j’ai envie d’aller au japon pour y apprendre le japonais car je suis une véritable fan/accro du japon. j’ai déjà des bases en japonais car j’ai pris quelque cours et je continue à apprendre en autodidacte mis j’aimerais vraiment aller vivre à Tokyo et y apprendre le japonais. Du coup je fais beaucoup de recherche et il y a vraiment beaucoup d’école alors je suis un peu perdu. enfin bref le fait est que j’ai récemment découvert cette école sur un blog et je serait intéresse par celle ci d’autant plus que les prix sont bas mais je me demander toi qui a tester les cours intensif et « nihongo + » quel programme est le mieux ? sachant que mon objectif est de progresser très rapidement et de pouvoir bien parler japonais (voir presque couramment) pour pouvoir plus tard y vivre. je penser prendre des cours pendant 6 mois et alors faire 3 mois un programme puis 3 mois l’autre. enfin je ne sais pas trop.c’est pourquoi je voulais ton avis sur quel programme nous fais le plus vite progresser ?
    encore merci pour ton témoignage.

    • ameliemarieintokyo

      Chère lys, je suis vraiment désolée de mon retard pour te répondre. Le cours nihongo plus est à mi temps. C’est à dire que tu peux avoir entre 4 et 6 h de cours par semaine. Je le recommande aux personnes travaillant à côté car cela permet de continuer d’apprendre à un rythme raisonnable. En revanche le cours intensif est costaud et permet une véritable immersion dans la langue en petit groupe. Si tu cherches une progression importante, je te conseille évidement le cours intensif. J’en ai fait 6 mois avant de commencer à travailler et je suis passée d’un niveau « haut débutant début intermédiaire » à « avancé ». Meme si le japonais est difficile à évaluer, je m’en sors bien et j’ai senti la différence d’avec mes précédentes écoles.

  • Bakura

    Très intéressante cette école, surtout le côté flexible des cours.

    Je me demande si certains profitent d’un voyage de deux ou trois semaines pour étudier, ou si c’est contre productif (ca semble assez contradictoire avec le concept de vacances mais ça pourrait être quelque chose qui m’intéresserait :o).

  • Amelie Marie In Tokyo / Championnat de sumo à tokyo

    […] école de japonais avait organisé l’évènement car il n’est pas toujours évident de s’y […]

  • Kuuki

    Je garde ça sous le coude aussi, je me cherchais justement une école où étudier un peu avec de vrais profs et de vrais camarades.

    • ameliemarieintokyo

      Eh bien tu devrais bien aimer Coto. Cela va faire 9 mois que j’y traine, et tout le monde est adorable, les élèves sont top aussi, même si j’en connais peu. Tout le monde progresse, et de manière général, je ne connais pas un seul élève qui soit mécontent de cette école.

  • moheradarling

    Wouah, ça à l’air super comme école 😀 ! Ca donne envie d’aller vivre au Japon rien que pour y étudier ^_^.

  • Branwen

    « Je suis un rat de bibliothèque, et si on me payait à étudier, je crois que je serai la plus heureuse du monde (avec beaucoup d’autres j’en suis certaine !). »

    Comme moi !!! Cette école a l’air super, vraiment 🙂 Je la garde sous le coude ^^

    • ameliemarieintokyo

      Elle est vraiment chouette ! Mon seul regret, j’ai oublié de le préciser, c’est comme elle ne sponsorise pas, on ne peut pas avoir la carte des transports réduites :). Mais on peut toujours se faire un pass pour plusieurs mois, ça coute tout de même moins cher.

    • Branwen

      C’est pas très grave, si les progrès sont au rendez-vous 🙂

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